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Notion de Physique

Les oiseaux utilisent l'ascendance à micro-échelle pour leur vol. En effet, le courant aérien vertical qu'on y retrouve est assez important pour accroître leur énergie potentielle.

 

 

La portance : Lorsqu’un oiseau se déplace, l’air s’écoule plus vite au-dessus qu’en dessous de ses ailes. La différence de vitesse d’écoulement créé une différence de pression entre le dessous et le dessus de ses ailes. Il en résulte une force, la portance, découverte par Bernoulli au 18ème siècle, qui lui permet de voler. C’est la force qui a tendance à soulever l’oiseau (ou l’avion). Une incidence positive amène une « portance vers le haut », soit une portance, alors qu’une incidence négative amène une « portance vers le bas », soit une déportance.

 

La traînée : Il existe aussi une force qui freine l’oiseau car l’air pousse l’oiseau vers l’arrière en même temps qu’il le soulève : c’est la traînée. C’est donc la résistance au passage de l’air, qui est parallèle et opposée à l’écoulement. Une formule permet de déterminer la traînée :

( Nous pouvons calculer la portance et la traînée grâce à des formules mathématiques, mais cela ne correspond pas au niveau de ce TPE )

 

La poussée : Un oiseau en vol est soutenu par une force qui s’oppose à la pesanteur, la poussée, produite par les ailes, plus particulièrement par l’extrémité de ces ailes. Plus l’aile est grande, plus la poussée est forte.

 

Le vol plané : c’est un vol sans battement d’ailes, l’oiseau se laisse porter dans les airs grâce à la surface portante de ses ailes et il utilise les courants aériens. Il permet à l’oiseau tombant en chute libre de parcourir une trajectoire allongée : l’angle de plané est alors inférieur à 45°. Le planeur peut gagner ou perdre de l’altitude si l’air ambiant contient des variations de vitesse horizontale, ou si l’air ambiant est immobile.

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